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Et si on apprenait à cultiver l'indulgence?

Peut-on être indulgent avec les autres lorsque l’on est intraitable avec soi-même ?

À contrario, est-il possible d’être indulgent avec soi-même lorsque l’on est intraitable avec les autres ?



Pensée de la semaine


Cette semaine, j’avais envie de partager avec vous un tout nouveau format.

Ce format, c’est ma pensée de la semaine.

" Et si on apprenait ensemble à cultiver l’indulgence ? "

J’ai quitté mon deuxième boulot Lundi dernier.

Après m’être infligée un rythme de vie qui ne me correspondait pas, qui m’éloignait profondément de qui j’étais tout en étouffant ma créativité, c’est lorsque j’ai enchaîné les arrêts maladie que j’ai senti quelque chose lâcher.

Un sentiment de calme et de bienveillance s’était installé.


D’après la définition du Larousse, l’indulgence est " l’aptitude à excuser les fautes, à ne pas les sanctionner sévèrement. "

Mais quelque chose me dérange profondément dans cette description...

Pourquoi partir du principe que l’on aurait commis une " faute" ?

Cette définition n’évoque-t-elle pas à elle toute seule un caractère grave qui n’aurait pas lieu d’être ?

Ces dernières semaines, j’ai appris le véritable sens des mots "douceur, accueil et acceptation".

Ne vous y trompez-pas, je n’ai pas balayé mes peurs d’un revers de main !

Elles sont toujours présentes mais je ne les rejette pas, je ne les déteste pas, bien au contraire...

Je les accueille, je les ressens, je les accepte et je les aime… Car je sais au plus profond de moi, qu’il y a une raison si elles sont là.

Pourquoi ne pas simplement partir du principe que nous faisons chacun nos expériences? Des expériences qui nous plaisent plus ou moins, mais nous permettent surtout de grandir et d’apprendre à nous découvrir un peu plus chaque jour.


  • Si nous remplacions l’autocritique permanente par l’empathie et la compassion ?

  • La course vers la réussite par le plaisir de prendre son temps?

  • L’obsession de la performance par le lâcher-prise ?

  • Enfin, si nous remplacions les reproches et la frustration par les questions suivantes: " qu’est-ce que j’ai accompli, qu’est-ce que j’ai appris et combien j’ai grandi " ?

Parce que finalement, est-ce que ce n'est pas ça la vie ?

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